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Petits mais costauds

De la crème fouettée maison, accompagnée de fous rires, de promotion canapé et de gens bienveillants. L'improvisation d'un samedi soir parfait. Je sais pas si on a le droit de le dire si vite, si tôt, dans une relation mais je crois que je vous aime.

Le vieux jeu sorti du placard. L'équipe de choc. On a parié et on a perdu, tout ça à cause du cri du poulet. Mais qui connait le cri du poulet ?

Je danse sur la glace, dans la patinoire éclairée par les spotlights et emplie à la machine à fumée. Je patine sans me tenir à la rambarde, je découvre cette personne nouvelle et je souris très grand.

Penser au kiwi et sourire. Irrépressible.

Rouler à 240km/h, pas comme si j'étais poursuivie, pas comme si je voulais arriver la première à destination. Juste pour partir nulle part, en écoutant la musique très fort, dans le silence assourdissant de nos pensées divergentes.

Björk, un sandwich à dix euros, l'hypnose du concert, du babillage sans conséquence. L'amour. C'est tout.

Les parisiens, ces connards. La générale. Son sourire un peu rêveur, beaucoup ailleurs. Des petits gâteaux. Une chute par jour. Ses encouragements l'air de rien. Le silence, profond et limpide, pendant la remontée vers la prochaine piste.

Sortir de chez le coiffeur, se trouver pas mieux et puis apprivoiser ce nouvel air. Et l'aimer.

Les blagues que seules les copines de la fac peuvent comprendre, avec toujours cette alchimie quand on se voit, qui fait que je ressors reboostée pour des jours.


Je n'ai strictement aucune idée du moment où je reprendrai le contrôle, peut-être jamais, probablement que c'est bien.

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