Si j'aime le basket, c'est parce que ça bouge, parce que même quand on ne comprend pas bien les règles, je trouve qu'on on peut suivre et surtout, parce que depuis quelques années, sévit ze great George Eddy aux commentaires sur canal+. Avec son accent américain et son enthousiasme, il me régale chaque fois. Petit florilège des phrases entendues lors du match n° 4 entre Detroit et Cleveland.
Il joue les intimidateurs patauds dans la peinture.
Le canard volant.
A game of runs.
C'est un dur à cuire.
Il veut jouer les gros bras alors qu'il n'a pas des très gros bras.
C'est steak haché time.
Le ballon ricochette sur l'arceau.
Son adresse s'étiole.
Bonjour le suspense !
Les pieds écartés comme avec des petites ailes pour monter plus haut.
Il risque de trop bouillir, comme le lait sur le feu.
Le fade away qui tue.
Billups est en train de manger la feuille.
C'est rugbyesque.
Tout ça avec l'accent, bien sûr !
Et puis c'est pas le tout, mais faudrait se réveiller les gars ! Richard, qu'est-ce que tu fais ? Faut pas se laisser aller là...