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Nos jours heureux

medium_jours.jpgBon, je suis entrée dans la salle avec un a priori positif vu que j'aime beaucoup Jean-Paul Rouve et que la seule vision de Mister Omar me fait monter le sourire... Sauf que souvent, quand c'est moi qui traîne un glu réticent au cinéma, le film s'avère super moyen. Pas là ! Le film raconte les aventures d'un directeur de colo qui n'a visiblement pas bien délimité où commence et où finit sa vie et celle de son père et qui pour la première fois va devoir gérer une équipe de mono pour 3 semaines de colo en Charente-Maritime. Outre la galerie de portrait pour faire rire (et ça marche, j'ai vraiment bien rigolé dites donc !) on entre quand même dans la psychologie des rapports humains : ceux entre ado, ceux entre les parents et les enfants, ceux entre les mono... Tout ne semble pas cliché. Du moins à mes yeux de néophyte.

Ben oui, je n'ai jamais de ma vie été en colonie, et d'ailleurs au fond, je le regrette un peu pour tout dire... Je suppose donc que j'idéalise carrément ce que c'est que de passer 3 semaines au milieu d'enfants inconnus et de moniteurs pas tous au top de la pédagogie et de la motivation. Mais je suis sûre qu'à la fin du film, j'ai ressenti un peu de ce que vivent les enfants et leurs moniteurs : quand j'ai senti que la fin du film approchait, j'avais une sorte de boule de nostalgie dans la gorge, je voulais que le film dure encore, que les 3 semaines de colo ne soient pas déjà finies.

Commentaires

  • Ah, les cholies colonies de vacances, merci papa, merci maman.... Moi, je connais bien, j'y ai passé tous les étés de 7 à 15 ans! De bons souvenirs, toujours!...

  • moi, j'idéalise carrément les colo. je regrette encore aujourd'hui de jamais y avoir été.
    et en même temps, j'aurais peut-être hurlé sur mes parents s'ils me l'avaient proposé ?... ils y vont, tes moustiques ?

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