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Le syndrome du paillasson

Le paillasson, c'est ce truc carré, posé par terre à l'entrée des lieux accueillant du public. Il a diverses formes, tailles, couleurs. Il peut être tout neuf, tout usé, bien propre… On en trouve à l'entrée des immeubles hi-tech comme des vieilles maisonnettes de campagne. On le méprise souvent mais il a une utilité certaine : il permet aux gens de laisser à la porte tous ces trucs qui s'accrochent aux semelles et dont on tient à se débarrasser avant d'entrer.


Il est très utile et pourtant, certains jours on marche dessus sans s'en apercevoir ou en s'en apercevant très bien mais bon, ce n'est qu'une quantité négligeable…


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C'est triste à dire mais certains jours, je crois que je suis ce paillasson…

Commentaires

  • baci, baci, baci, ...

    Cela me fait mal de te voir comme ça. Tu n'es pas une quantité négligeable, bien au contraire !

    Arrêtes de te faire autant de mal et sors vite de cette spirale.

    Dis nous que faire pour t'aider et nous serons là. Etnous sommes là même si tu ne veux pas de nous !

  • baci, baci, baci, ...

    Cela me fait mal de te voir comme ça. Tu n'es pas une quantité négligeable, bien au contraire !

    Arrêtes de te faire autant de mal et sors vite de cette spirale.

    Dis nous que faire pour t'aider et nous serons là. Et nous sommes là même si tu ne veux pas de nous !

  • Baci, tu m'inquiètes également. Je me sens loin, mais s'il le faut, je viens te voir.
    Je te sais bien entourée à Paris et ailleurs. Appelle les gens, ça leur fait plaisir. Si cela ne va pas, parle leur. Dans le BC, je te connais de solides amitiés, qui existent aussi dans les moments difficiles.

    Ookwee te le dit elle-même, il y a des gens pour t'aider.
    Tu vas quand même pas me faire trimballer ma grosse bedaine jusqu'à la capitale ? Bon, là, je suis en train de te faire culpabiliser alors que je voudrais te faire rire ou, du moins, sourire.

    Je me sens démunie face à tes derniers billets, ton twitter qui gazouille des choses pas marrantes.

    TU N'ES PAS SEULE et tu as le droit de demander de l'aide. Je sais, ce n'est pas toujours évident, mais un simple coup de fil et cela peut faire beaucoup de bien (oui, je sais, tu n'aimes pas le téléphone...).

    Si je me souviens bien, le mot de passe, c'est FRADDAK, n'est-ce pas ?

    Je t'embrasse bien fort et te "hug" également.

  • baci quand elle me téléphone, je la reconnais même pas, tellement j'ai pas l'habitude ;-DD

    Et moi je redis que tu viens quand tu veux à nice, mon canapé est ton canapé! (enfin en carrèment moins chouette évidemment)

  • Hé ho, tu n'es pas un paillasson !!! Tu n'aurais pas quelques jours de congés à prendre, là? Parce que tu sais, ça fait du bien! (bon, je sais, tu sors de vacances, mais on ne sait jamais!) Câlin + bisous, voilà mon ordonnance !

  • Au lieu d'écrire des conneries tu ferais mieux de publier 6 photos de ton mois d'octobre et je ne veux pas y voir un seul paillasson, non mais !

  • Fais gaffe, y'a Larkéo qui se fâche !

  • @tous : cette note a été écrite en plein de fois et elle a été commencée au mois d'avril dernier.
    et je ne me mets pas dans des états pas possibles, c'est vrai que les gens me marchent dessus.
    mais je m'améliore au fil des semaines !

    @larkeo : j'ai pas mon appareil photo, là, alors je peux pas obéir !
    ^^

    @landrellec : aujourd'hui, le mot de passe serait plus long, je crois !
    :o)
    (si j'avais osé, il l'aurait peut-être été dès la dernière fois, d'ailleurs ?...)

    @septie : je crois que je vais t'obéir, docteur ! j'ai des jours à poser, je vais trainer au ciné et dans les rues de Paris pour un grand week-end.

  • allez, à mon tour d'essayer de te faire rire : le syndrome du paillasson pour moi, c'est quand on a subitement et impérieusement envie de faire pipi dès qu'on arrive quelque-part...
    bises ma belle !

Les commentaires sont fermés.