Comment je fais, moi, maintenant ?

Bon, je vais pouvoir enlever l'icône, là, en bas, qui dit que ce blog est 100% sans coupe du monde. (Ce qui fut vrai en grande partie, non ? ben dans la mesure où ma seule note à ce sujet était un petit "YES !!"... et que glu, lui, n'en a rien dit ? )

Seulement voila, maintenant que celle sur qui je copiais tout n'est plus là, comment je vais faire pour savoir quoi mettre sur notre blog ? Où je vais trouver des trucs sympa et très hype fashion de la mort qui prouvent que chez baglu, on est au top de la branchitude blogale ? Je vais être obligée de mettre encore plus de liens sur ma page netvibes à moi pour être sûre de rien louper !

Avant d'enlever l'icône, je me demande s'il y aurait pas un moyen de la copier pour la mettre dans cette note en souvenir ?

voila c'est fait !

YES !!!

Non, je n'ai pas regardé, j'ai écouté la rue. Et même si glu a fait (un peu) la tête 10 minutes, il n'y a pas eu de réglage de compte sanglant à la maison. Comme quoi on a beau être latin, on sait rester civilisé...

Voila, je suis ravie mais déçue de ne pas avoir misé d'argent il y a 2 ou 3 mois quand j'ai discuté pronostics. Je serais peut-être riche ?

Ca me dépasse !...

Il y a quelques mois, après des matchs de poule palpitants, les basketteurs français accédaient à la demi-finale de l'Euro. Dans la rue, pas un coup de klaxon, pas un drapeau flottant au vent. A la télé, une demi-image de résumé, les matchs n'ont même été diffusés sur aucune chaîne hertzienne car pas une n'avait voulu payer pour les montrer aux téléspectateurs.

 

Et pourtant, ils avaient réussi un exploit : depuis au moins 40 ans, pas une équipe de basket n'avait atteint ce niveau. Ils sont médaillés de bronze et on a rendez-vous avec eux au mois d'août pour la compétition mondiale. Mais là encore, pas un sourcillement.

Il y a quelques jours, après deux matchs nuls (dans tous les sens du terme) d'autres sportifs aux couleurs de la France accédaient aux 8èmes de finale, et là... on se serait cru en présence des libérateurs de la France.

Voila, c'est ça qui me dépasse...

L'arrivage de juillet

Voila, lundi a eu lieu le traditionnel arrivage du 1er lundi de juillet : une foule de jeunes gens stressés s'est retrouvée à faire la queue pour faire faire leur badge d'accès, puis pour mettre de l'argent sur le badge de la cantoche, puis pour être présentée aux autres personnes de l'équipe où on venait de les parachuter...

Bref, mon âme de veneuse en aide aux pauvres êtres égarés se réveille comme chaque année, pour être étouffée aussi sec à la vue de la grande perche tout juste pubère qui se permet de te toiser ou de ne pas te répondre quand tu lui dis bonjour en souriant. Cette capacité qu'ont des gens de 18/19 ans (dit mémé la trentenaire) de s'imaginer que tu ne leur seras jamais d'aucune aide, toi la vieille qui mets des pantalons taille 44, ça m'a toujours hallucinée ! Enfin surtout, l'arrivage des stagiaires c'est l'occasion pour certain(e)s de faire le marché. Et quand on n'est pas célibataire ou qu'on est trop vieille (ce qui n'est pas encore mon cas,
merci, les stagiaires post master ont dans les 25/26 ans, c'est pas si loin après tout...)  c'est au moins une occasion de s'en mettre plein les mirettes
à la vue de tous ces éphèbes qui viennent peupler la cantoche habituellement squattée par les retraités qui passent au CE ou les pre-retraités qui composent 40% des effectifs de ma boîte.

En règle générale, je les aime bien les stagiaires, j'y ai d'ailleurs déjà fait mon marché ! Y en a notamment un qui est entré dans ma vie y a environ 5 ans et qui je l'espère, va y rester pour longtemps vu qu'il m'a présenté entre temps une delfinus fanatica que je compte également garder pas trop loin. (non, ceci n'est pas une déclaration d'amour subliminale parce que je crois qu'aucun des deux ne passe par ce blog régulièrement...)