On peut dire que certaines cultures ont définitivement le sens du bon goût, de la mode, du seyant. Et c'est en matière de sac à main que j'en ai dernièrement eu la preuve.
 On remarque tout de suite que chez Macy's, on trouve des modèles de sobriété. Avec des imprimés aux formes et couleurs chatoyantes... Vous aurez peut-être du mal à le croire mais ce sac, de la marque Crown Princess, coûte 89 dollars hors taxes. Il s'appelle même "fantasia print". Et oui, je confirme, l'imprimé fait définitivement dans la fantaisie. Peut-être même trèèèès légèrement trop...
On remarque tout de suite que chez Macy's, on trouve des modèles de sobriété. Avec des imprimés aux formes et couleurs chatoyantes... Vous aurez peut-être du mal à le croire mais ce sac, de la marque Crown Princess, coûte 89 dollars hors taxes. Il s'appelle même "fantasia print". Et oui, je confirme, l'imprimé fait définitivement dans la fantaisie. Peut-être même trèèèès légèrement trop...
 Et puis l'originalité ne s'arrête pas forcément au design. Au pays du peanut butter, on refuse la facilité, on réfléchit également très sérieusement au nom des marques. Après la princesse couronnée (ou la couronne de la princesse je saurais pas dire comment on traduirait...) il faut avouer que je restai comme deux ronds de flan en découvrant les idées qui jaillissent du fluff qui leur tient lieu de cerveau. Définitivement ébahie devant le top de l'inventivité : The Sak. Non, ne rigolez pas. Je crois qu'on tient là un vrai filon. Je viens de contacter l'INPI pour déposer illico des noms de marque comme "Le Bagg" ou "La Borça" ... Les bases posées, je comptais au départ me payer les services d'un designer ou d'un styliste débutant pour m'aider à développer ma propre marque. Et puis finalement, j'ai décidé de tout simplement recycler mon "dessinons la mode" Au vu des modèles précités, je pense que ce sera bien suffisant.
Et puis l'originalité ne s'arrête pas forcément au design. Au pays du peanut butter, on refuse la facilité, on réfléchit également très sérieusement au nom des marques. Après la princesse couronnée (ou la couronne de la princesse je saurais pas dire comment on traduirait...) il faut avouer que je restai comme deux ronds de flan en découvrant les idées qui jaillissent du fluff qui leur tient lieu de cerveau. Définitivement ébahie devant le top de l'inventivité : The Sak. Non, ne rigolez pas. Je crois qu'on tient là un vrai filon. Je viens de contacter l'INPI pour déposer illico des noms de marque comme "Le Bagg" ou "La Borça" ... Les bases posées, je comptais au départ me payer les services d'un designer ou d'un styliste débutant pour m'aider à développer ma propre marque. Et puis finalement, j'ai décidé de tout simplement recycler mon "dessinons la mode" Au vu des modèles précités, je pense que ce sera bien suffisant.   Malgré tout, je sais déjà qu'il y a un créneau dans lequel je ne pourrai jamais égaler le génie créatif d'outre-atlantique, c'est l'originalité des sources d'inspirations et l'audace dans le choix des formes. Ils sont parfois tellement avant-gardistes. Mieux, peut-être sont-ils même en avance sur l'avant-garde. Jugez par vous-même grâce à notre mannequin : qui pourra jamais faire aussi bien que ce modèle ?

 Aux Stèïtss, ces petits chanceux ont des trucs en poudre qui ressemblent au tang de mon enfance que j'adorais. Aujourd'hui j'ai testé celui-ci.
 Aux Stèïtss, ces petits chanceux ont des trucs en poudre qui ressemblent au tang de mon enfance que j'adorais. Aujourd'hui j'ai testé celui-ci.

