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Petits (ba)nheurs - Page 8

  • Picotis

    Des paillettes de chanson dans la tête grâce au concert de Clarika. Cette fille déchire tout grave sa mère je kiffe. Voila, c'est dit et je crois que c'était nécessaire. Et merci à mon hôte.

    Des bisous impromptus autour d'une limonade dans un bar de routiers. L'inconvénient de devenir une no life trop longtemps c'est qu'on profite plus des gens qui sont chouettes et qui manquent en fait.

    Des éclats de rire pétillants à base de pilosophie du bad boy, de gouda au cumin, de commentaires odieux devant la NS, de momies fossilisées dans le jury, d'auto-mute, d'avocat bonnet d'âne...

    Des sourires de ravissement en lisant ou écoutant ou recevant vos messages gentils pour mon anniversaire. C'était un anniversaire pas tellement comme les autres mais c'était drôlement bien.

    Des papillons d'impatience vite envolés tellement on a papoté et rigolé et raconté nos vies sans trop se poser de questions. Et puis partager le plaisir des livres dans les arbres. Bientôt le concert et d'autres choses j'espère.
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    Des moments de grâce remplis de gâteau au citron, de bisounours, d'amour, de patience et de remontage de bretelles (et d'ingratitude de ma part j'ai l'impression). Pourrais-je faire, sans ?

    Des souvenirs pour toujours comme sa sublime déclaration d'amitié alcoolisée, son invitation à dîner préanniv, notre dégustation de cocktail NY style, cette discussion sérieuse sur fond de délire collectif...

    Des blablatages mailiques sur les jeux d'enfants et la mochattitude, des riens a priori qui ponctuent mes semaines et qui me manquent les jours de rush.

    Des sautillements de joie, c'est limite LE truc qui me tient debout depuis quelques jours : je pars en vacances dans 29 jours. Je vais pouvoir profiter d'elle pour la 1ère fois depuis... au moins !

     

  • Quand y en a plus... y en a encore

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    CLC* ne m'a pas tuer.Je suis debout ! Sans hurlements cette fois-ci. Quelques larmes et de la déception sur le moment, un détachement nouveau et salutaire depuis. Surtout, la preuve que mes interlocuteurs me trouvent professionnelle grâce à cette folle : sachant mes misères, tous m'abreuvent de messages de remerciements pour mon travail. C'est bon d'être rassurée sur sa valeur professionnelle par des gens qui n'y ont pas d'intérêt...

    Je vais en classe tous les jours ou presque et j'y suis à mon aise : prendre les cours, chuchoter quand le prof tourne le dos, faire la folle à la pause, récolter des ragots sur les gens, avoir un petit groupe de potes, critiquer les lèche-culs, faire mes devoir pas très sérieusement, préparer les partiels à l'arrache... tout ça me ramène dans une ancienne vie et me semble en même temps tellement normal et logique. Je fais partie complètement de cette promo. Pas à mi-temps, pas comme un électron libre malgré ce que je craignais mais bien comme une étudiante lambda.

    Retrouver, après un petit long moment de coupure, nos moments de fous rires et de n'importe quoi à la station pyramide ou sur le quai de Châtelet, autour d'un ramen ou d'une pizza boscaiola. L'entendre me dire des mots doux, me soucier d'elle, avoir envie pour elle de ses projets même si égoïstement, j'aimerais mieux pas.

    La fatigue, à partir d'un certain seuil, ça anesthésie. Au point que nombre des horreurs qui me traumatisent d'habitude passent... Je ne crise toujours pas de panique à l'idée de ma date de péremption qui approche. Oh, je ne me fais pas de souci, les crises de "mais elle est nuuuulle ma vie, je suis vieille" viendront en leur temps mais j'ai beaucoup trop de boulot d'ici mon anniv, je pense que ce sera pour après. Du coup je suis libérée de ça pour le moment.

    Prendre soin de moi. Toute une journée consacrée à moi. Entourée de mes lusheries, j'ai passé 3 heures ou presque à me cocooner puis encore une heure à trier mes habits et puis j'ai pris le temps de ranger de vieux papiers et de traîner sur le canapé à regarder des séries crétines et puis j'ai pris un petit-déjeuner en plein de fois, de 13h à 20h.

    Un morceau d'après-midi volé à CLC*. Un petit bonheur rempli lui-même de petits bonheurs : Un déj dans notre brasserie. Des détours à la FNAC. Deux macarons. Des papotis aussi naturels que d'habitude. Des projets de visite. Du rattrapage de potins. De l'émotion de partager sa douceur.

    Plein d'autres petits trucs aussi, j'en suis sûre, mais je les trouve pas, là, tout de suite...


    *Connasse La Chef

    Bon j'arrête là parce qu'en fait, ça marche pas aujourd'hui...
  • I call it...

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    Une certaine idée du bonheur.

     

    Des balades, des discussions à n'en plus finir, de la vapeur, du picon bière, ses fossettes, des colliers, du musée, des couleurs.

    Partager, sourire, s'émouvoir, avoir envie.

    On marché assez pour se fatiguer les muscles mais ouf, on a mangé des cookies qui déchirent et une glace, mais aussi des antipasti et des ravioli de chez le traiteur rital.

    Je suis comme chez moi ou presque, un des endroits où je suis le plus moi, le moins inquiète à l'idée de faire des impairs. Ils sont tout simplement ma famille probablement...

    Et puis grâce à la grève des pilotes, des minutes volées à mon employeur. C'est un cadeau tombé du ciel, au sens propre presque !

     

    La cerise sur le gâteau : une sieste sur la plage, mi-novembre. Je peux me la péter 5 minutes orgamisques ou bien ?

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    Ma chanteuse préférée le chante très bien alors je partage :

     

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    Non, la vraie cerise, c'est ouvrir sa valise et avoir les larmes qui montent aux yeux de plaisir : posé sur le dessus se trouve une surprise (c'est écrit dessus) laissée là sans que je m'en aperçoive. J'ai un nouveau collier en plus de ceux que je me suis offerts ce week-end !
  • Pluie de paillettes

    Bon, on va utiliser la bonne vieille technique parce que, je pense, ça ne peut QUE faire du bien.

    Je fais comme si si si
    mais
    Je vais pas pas pas

    J'ai peur peur peur
    Je stresse stresse stresse
    Je ne gère plus rien rien rien
    Je suis épuisée épuisée épuisée

    Je me sens comme un équilibriste sur un fil sauf que je n'ai pas appris à marcher sur les fils.
    Beaucoup trop de situations peu claires à gérer, pas assez de temps pour voir les gens que j'aime, pas la force de prendre des forces auprès de ces gens de toute façon.


    MAIS ALLEZ HOP... SI, ça va ou au moins, ça va aller parce que :
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    Un lutin qui se dandine à 4 pattes.
    Une copine de gym dès que j'aurai envoyé le chèque.
    Une session télé-réalité avec les cousines.
    Un petit fond de rhum à la vanille sacrifié juste pour moi.
    Un concours de bidou.
    Un copain d'escargorigolade.
    Une longue balade photographique sous le soleil parisien.
    Un dernier pique-nique avant l'hiver.
    Un paquet de M&M's aux amandes.
    Une vie sociale toute foldouce.
    Un poulet frites rillettes ou un croque-madame.
    Une visite sororale.
    Un Didier Super in ze métro.
    Une soupe de nouilles.
    Une organisation week-endesque de folie.
    Un pélican aux yeux qui pétillent.
    Un cours de shopping par mon modèle de femme.
    Un calin qu'elle fait pour moi.
    Une virée chez Lush pour sniffer de la luciole.
    Un courriel plein de "comment ?"
    Une orange pressée impromptue.
    Un mouchou jusqu'à minuit ou presque.
    Un commentaire ou 3 qui émeuvent très fort.
    Un entourage aux petits soins.
    Une copine de chuchotage sur les bancs de la fac.

     

    Un ou 2 ou une pléiade de fous rires. Dès que je peux.

     

    Faudrait que je trouve la force de pleurer pour évacuer tout ça probablement.
    Faudrait que je trouve la force de dormir surtout.

    En attendant merci à vous pour tous ces petits bonheurs !