Ma passion pour ces silencieux un tantinet baveux ne s'est jamais démentie depuis. Impossible d'en manger un seul. Vraiment inenvisageable.
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Ma passion pour ces silencieux un tantinet baveux ne s'est jamais démentie depuis. Impossible d'en manger un seul. Vraiment inenvisageable.
Lundi de Pentecôte ensoleillé.
Je gambade rue Montorgueil, l'oeil comme toujours aux aguets, à observer les moindres détails. Un mur tout rugueux, une poupouf qui minaude, des poubelles sur le trottoir (aucun rapport a priori entre ces 3 éléments. A part peut-être pour les 2 derniers ?...) bref, plein de trucs à admirer.
Et soudain, là sous mes pieds ou presque, un être sans défense m'appelle à l'aide. Tout seul et visiblement abandonné, il attend sur les pavés de la rue. Mon sang ne fait qu'un tour, mon esprit chevaleresque prend possession de mon corps. Je me penche et attrape ce petit tout choupinou.
Parce que voyez-vous, j'adore les escargots. Pas d'un amour gastronomique mais d'un amour de petite fille qui en faisait l'élevage quand elle était enfant. Je les nourissais chaque jour d'herbe, de vermicelles ou de salade et jouais avec eux... Et aussi d'un amour d'adulte qui trouve touchant ce petit animal à l'apparence toute fragile qui peut pourtant réparer sa coquille tout seul quand il est blessé.
Oui, j'ai de l'affection pour les escargots. Mais je ne suis pas la seule je vous ferais dire. Regardez plutôt cette dédicace !!
C'est pas un jeu ni un concours.
J'ai croisé cette drôle de plante dans un jardin et j'aimerais bien savoir de quoi il s'agit.
Quelqu'un parmi vous le saurait-il par hasard ?
© http://www.pommiers.com
Cette chose malfaisante se nomme akène et me donne les yeux rouges du lapin atteint de myxomatose. Ça c'est pour l'aspect visible.
J'ai aussi l'impression que du sable a remplacé mes larmes (aïe non pitié, je veux pas cligner des yeux...)
Et aussi y a cette sensation écoeurante qu'il y a comme une sorte de voila de coton hydrophile collé au fond de ma gorge...
Ca m'éneeeeeerve !
C'est au point que je prends des anti-histaminiques figurez-vous !
Ça va durer quelques semaines cette chose, parce que les fruits du platane mettent un temps fou à bien se disséminer partout... Et impossible d'y échapper vu que toute ma rue en est bordée et qu'il y en a dans la cour sous mes fenêtres de bureau.
En attendant, je passe mes journées à m'hydrater les yeux...
Comble du pire, là, je m'apprête à me coucher tellement ça me tue !