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  • Les phrases du vendredi (2)

    Un peu de ferme célébrités juste histoire de s'assurer que Mickael Vendetta va rester encore pour nous réjouir de sa connerie...

     

    Quand c'était besoin (Greg)

    Je retire d'avoir dit ça...
    J'ai jeté la poussière tellement loin qu'elle reviendra plus.
    Moi j'ai un cul d'un Dieu du Stade.                             Mickael Vendetta sauvé par le public, alleluïa

     

     

    Mais le vrai bonheur de ce vendredi a été de retrouver Moundir.

    J'ai besoin de trouver cette petite toupie qui me fera tourner la tête.
    Tu fuis dans ton sourire.
    Elles vont être impressionnées parce qu'elles vont voir le Moundir de la télé.
    Je les avais pas encore rencontrées, j'étais en pleine vitesse.
    Si je devais comparer ça à une arène, je dirais que j'étais un taureau sans cornes.
    Comme on dit chez nous, inch allah avec sans souci.
    Hasard ? Réalité scientifique ?
    La première [fille], c'est le grand canyon.
    Tu me donnes chaud aussi mais c'est plus intérieur.
    Il y a une forme de 14 juillet qui monte en moi, comme une forme de prise de la Bastille, une sorte de débarquement.
    Elle a labouré depuis le temps et les fleurs elles ont poussé derrière elle.µ
    Dans tous les comportments et dans tous les sens du terme ça va être très dur.
    Si je le montre pas vis-à-vis de mes yeux...
    Sainte Marie de la Mer je croyais que c'était en Australie.
    J'ai compté, il y a 24 (z)yeux je crois. (Petit rappel, elles sont 14...)
    Elle risque s'attraper une crise de lèvres.
    Tu fais partie de la première fille qui m'a plu.
    Par for intérieur, mi-macho mi-super héros.
    Je pourrai m'expliquer avec elle de mon mécontentement.
    Tout ce rouge vêtu qui te suit.
    Je suis fier de mes 14 petites poulines.
    Elle essaie de cacher un jeu et de jouer un rôle.
    Sabrina qui jouait une façade d'elle.
    Avec une sensibilité vraiment charismatique.
    C'est un mélange de beauté mais de beauté renfermée.
    Ne te pose ni de question ni de réponse.
    C'est du théâtre de cours Robert.
    Inès était vêtue d'une robe romaine, elle portait des jolies chaussures de mode Spartacus, j'avais l'impression d'avoir affaire à Cléopâtre.

     

    Et parce que les filles aussi ont parfois parlé :

    C'était mon heure où jamais.
    Mentalement, il est un peu comment ?
    J'ai l'impression que je me sens un peu éparpillée.
    "Ben Noye-moi " (bien prononcer noyeu)

  • Nous sommes de passage par Noël

    Noël a toujours été un moment de l'année important. Aucun temps mort dans cet amour de cette fête, même quand j'étais une ado en pleine crise de pseudo rebellitude, j'étais ravie de voir arriver la période des cadeaux, du sapin qui clignote, des repas sans fin hypercaloriques et de disputes familiales. Adulte, l'idée de rentrer chez mes parents pour partager mes vacances avec eux était aussi une source de joie. Jamais je ne poserais la semaine du nouvel an, je veux être avec eux pour Noël.

     

    Le fait que j'aime faire des cadeaux n'est évidemment pas étranger à cet amour de Noël. C'est souvent drôle même si un peu stressant aussi, de chercher la bonne idée, le petit truc en plus qui fera de ce noël un noël différent.
    Autre petit bonheur, faire le sapin. En partant, je crois que la question ne s'est pas posée, j'ai pris les décorations de Noël.

    La première année, je crois que sans ma sœur, je n'aurais pas acheté de sapin. Ca ne paraît probablement rien pour certains mais quand on me connaît un peu, on sait que c'est anormal. Elle est venue passer quelques jours à la maison et elle a acheté l'arbre avec moi, m'a fabriqué une de ces couronnes de porte dont elle a le secret. Chaque soir quand je rentrais, je voyais la couronne sur ma porte d'entrée et je me souvenais que c'était censé être un de mes moments préférés de l'année.
    Il me semble aussi que je me suis totalement  déchargée sur elle de la gestion des cadeaux. J'ai juste donné de moi financièrement. Pour le reste, 2 ou 3 conversations téléphoniques d'organisation et c'est tout.

    Parce que ce Noël là, tout était vain. Vide. Bancal. Je ne me suis pas sentie à ma place, tellement concernée. Personne pour courir les boutiques avec moi et organiser les cadeaux, à table, il n'était pas là à côté de moi pour rigoler à demi-mot, le 25 je suis restée dans ma famille, pas de crevettes ni de cérémonie de remise des cadeaux dans la belle-famille.

    Pas violemment, plutôt silencieusement pas concernée. Je n'ai même pas vraiment pris de vacances, je suis repartie le 25 au soir par le train de nuit pour bosser le 26 au matin, façon « courage fuyons ce moment... »

    Alors quel plaisir l'année suivante, de sentir frémir mes zygomatiques en écoutant les bêtises de l'organisation du réveillon, je me suis battue avec mes collègues pour pouvoir passer toute une semaine avec ma famille, j'ai choisi avec soin les cadeaux, j'ai participé à la préparation du dîner.

    Tout d'un coup, j'avais repris ma place autour de la table familiale et retrouvé mon enthousiasme pour Noël : un joli sapin et de toutes nouvelles décorations (rien qu'à moi en plus de celles « à nous ») suspendues, des heures le nez dans le froid à marcher dans les rues éclairées par les illuminations de saison, des cadeaux concertés et d'autres pas, du bon vin pour accompagner la dinde aux marrons...
    Le matin encore endormie, des sablés de noël maison trempés dans le thé du petit déj, sous le plaid pour faire la sieste devant la cheminée, les batailles de boules de neige quand il y en a, s'époumoner sur les chants de Noël dans les rues à minuit pile, la balade dans les Pyrénées espagnoles...

    Noël est à moi, désormais. Je serai bien entendu ravie de faire partager mon noël à un autre mais ce moment est mien. Toutes les petites choses qui me ravissent sont tout à fait enthousiasmantes, y compris pour moi seule. Il y aura toujours quelqu'un à côté de moi à table pour le réveillon, j'aurai toujours des gens à gâter, mon sapin n'est pas le plus harmonieux mais il porte les souvenirs de toute ma vie d'adulte, je peux créer des noëls en plus de celui dans ma famille. Je suis repassée par Noël.

     

     

  • Du boulot à la maison

    Ou comment se laisser déborder.

     

    Je suis procrastineuse. Invétérée même.
    Mais tout ceci est pondéré par le fait que je travaille très vite et que la pression ne me fait pas peur. (on est dans la catégorie ba bosse, là donc pas de réflexions sur ma gestion de vie perso) La gestion de ce trait de caractère est facilitée parce que je suis une no life et que personne ne m'attend nulle part à la maison. Si j'ai besoin de finir à 22h pour rattraper 4h de glandouille, je peux le faire même de manière impromptue.

    Cette semaine il y a eu, 2 réveils très difficiles donc trop de temps pour me préparer. (j'ai mis 1h30 pour me préparer au lieu des 40 minutes habituelles) Évidemment, gros gros retard à la clef. J'ai également fait mes premiers pas dans un "vis ma vie de parent d'un petit bébé", ce qui m'a valu de sortir 2 soirs plus tôt que d'habitude pour être à l'heure à la crèche.

    On parsème d'une forte pas envie de bosser, d'une grave tendance à la rêverie post week-end génial et autres considérations girliesques.

    Et on ajoute que c'est tout pile la bonne semaine pour lâcher prise : mon grand forum interprofessionnel bimestriel a lieu la semaine prochaine (650 pages à lire et digérer pour défendre la position de ma boîte), un très gros partenariat est en pleine négo donc beaucoup d'échanges et de positions de principe à rédiger, deux lancements de projets en grande pompe ce mois, et le retour d'un dossier qu'on croyait mort mais qui joue les zombies chronophage. Cette semaine, avec ou sans connerie, j'aurais donc été débordée de toutes parts.

     

    Total : on est vendredi, 16h27, j'ai 4 trucs à rendre pour mercredi dernier que je n'ai pas même commencés, 350 des 650 pages à lire, des imprévus à regarder... et je rédige à la place une note de blog pour raconter comment je suis en retard.


  • Les phrases du vendredi

    Je suis ravi d'être ici en Australie.
    Ah ? j'ai vu des kangourous dehors...  
    Aldo Maccione, remettez-le dans son bocal de formol !

    La france m'a accueilli comme si j'étais un fils.
    J'adore les animaux.
    Je suis là pour l'association Maud Fontenon... Fontanot... Fontenoy !
    Les lits sont tous ensemble ?
    David Charvet, QI en travaux

    Quand je suis à cheval je suis libre comme si je m'envolais dans le vent avec lui.
    L'Afrique est un pays merveilleux.

    Tant va la cruche à la Jeane Manson...

    Tout le monde m'envie, c'est évident.
    La vie je m'en fous, moi j'ai une vie rêvée.
    Le plus difficile ça va être de rester beau gosse.
    Y avait de la merde à l'entrée, c'est pas sérieux.
    Mickael Vendetta, le seul et unique et heureusement...

    Je suis la Brigitte Bardot des temps modernes.
    Velvet d'amour (no comment son nom me fait triper)

    On m'appelle le zoukeur coquin.
    Au bout de 2 semaines sans sexe, si je vois des fruits de la passion, je les ramasse et je les mange.
    Y a des nanas pas dégueus.
    Moi je préfère toucher les gonzesses, ça m'intéresse pas de toucher les serpents.
    Frankie Vincent aka le père spirituel de greg le millionnaire

    La seule chose que je vois qui a changé, c'est le décor.
    (Vive Vincent Mac Doom qui intervient une seule fois mais quelle fois....)

    Comme le léopard, moi je suis wild et sauvage.
    Christophe, boxer des pieds, des poings et plein d'autres trucs super
    C'est quelqu'un d'hyper simple à l'intérieur. (Lima parlant de Christophe le boxer)

    "La girafe est fatiguée.
    - Ben il y a une heure de plus ! "
    Quel animal vous rêvez de rencontrer le plus, ici ?
    Alleluia, les présentateurs peuvent remplacer les candidats en cas de baisse de forme connerienne...

    Un tout petit peu plus différent.
    Y a pas de moustiquaire mais y a pas de moustiques non plus.
    Greg, j'ai hâte qu'il soit tout dur de partout qu'on rigole !