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Ba, bla bla - Page 20

  • Il faut être deux pour danser le tango

    Alors la pétillante bibz a eu la géniale idée de lancer un blog qui fasse réfléchir sur des mots (y en a même deux ou trois que je lui soumettrais bien le jour où j'ose, tiens...) ben moi, je fais ma copiteuse et je lance une grande lutte : "sauvons les belles expressions de la langue française"

    ba91a16cb06b21af10d92a628b1ed682.jpgAujourd'hui donc, penchons-nous donc sur : "Il faut être deux pour danser le tango"

    Mettons-nous en situation : Le tango étant une danse de couple, il apparaît impossible de le pratiquer quand on n'a pas de partenaire. A moins d'aimer être ridicule, de souffrir d'une grave affection mentale et/ou de disposer d'un ami imaginaire, personne n'ira donc se lancer seul sur la piste de danse quand il n'y a que des couples qui y évoluent.

    Si on va plus loin, on pourrait dire qu'à moins, donc, d'être gravement malade (j'exclus de fait les cas de délire pour que ma démonstration puisse tenir la route : A ce propos, Ginette, si tu m'entends, je te salue !) aucune relation, aucune situation -aussi atypique soit-elle- ne peut se mettre en place ou se développer s'il n'y a pas d'écho, si aucun partenaire ne renvoie la balle. (Je précise -même si je pense c'est inutile- que j'exclus également le cas où celui qui renvoie la balle serait un malade mental qui prend plaisir à faire croire des choses qui n'existent pas sinon on se retrouve dans un téléfilm de M6 !

    Partant, vous remarquerez qu'on assène régulièrement au pauvre conjoint bafoué qui insulte copieusement le monstre sans coeur qui a poussé un gentil parent fidèle à l'adultère : "tu sais mon chou, il faut être deux pour danser le tango." 
    Au rayon détournement d'expression idiomatique, on remarquera que nombre de sales c... se servent aussi de cet argument fallacieux pour faire croire au consentement de certaines victimes d'abus sexuels... 

    CQFD : Lorsqu'on utilise l'expression du jour, on souhaite expliquer que la personne ne s'est pas mise seule dans la situation où elle se trouve, que les deux protagonistes partageaient sûrement le même avis, oeuvraient pour un objectif commun.

     

    PS en forme de demande de contribution : Je mène actuellement des recherches actives sur une expression qui semble être tombée dans une telle désuétude que je ne trouve aucune info à son sujet. Si donc quelqu'un sait quoi que ce soit au sujet de "raconte ça à un cheval de bois et il te donnera un coup de sabot" je suis hyper preneuse ! 

  • Fin de l'année ou presque

    6f286e46e74e019238460eea1793dd8e.jpgPlein de tic tac à la cannelle

    La découverte de Tétu 

    De la recette de la salade de fruits

    L'accent de référence et les autres

    Les Affranchis 

    Les bienfaits de l'embargoïsation sur l'estime de soi

    L'agneau, c'est toujours pas bon

    Hot tea

    House style et control check en Garamond 12

    Des alligators découverts dans l'Amazonie

    La soupe de potiron, c'est dangereux

    Un antivirus pas compatible vista

    Le stoïcisme n'est pas pessimisme...

    Des joies du lapin

    All in

    a1d3af6cd44242c2084b0ee5a55f821a.jpgLe choco menthe de chez Alter Eco est définitivement le meilleur !

    L'épluchage de clémenvilla/tines

    MMMbop

    La zizanie

    La joueuse de pipeau

    Avec ou sans compte, c'est urgent, je pars en vacances ! 

    La guerre anti-poissons 

    Et une année n'y aura rien changé : je démarre toujours au quart de tour... 

  • Mon presque dernier Noël.

    Figurez-vous que j'ai failli ne jamais ouvrir mes cadeaux ! Pour une fois, je n'exagère pas...

    Hier, alors que je transportais une armoire, je suis passée à travers une porte.

    Une porte qui servait à masquer l'ouverture d'une grande et profonde cuve en fer.

    Je suis passée à travers et tombée dans la cuve.

    En fait, je ne sais pas par quel miracle, j'ai lâché l'armoire à temps pour ne pas la prendre sur la tête. Et je ne sais pas non plus par quel miracle, je ne me suis pas assomée contre le bord de la cuve.

    Je me suis retrouvée très tranquillement en appui sur mes triceps, pendue dans le vide... Genre je suis cascadeuse professionnelle, je sais retomber correctement en toutes circonstances... Probablement grâce à la lecture du fabuleux guide "Scénario catastrophe : Manuel de survie : situations extrêmes"

    Bref, heureusement pour moi, je n'étais pas seule, on m'a hissée hors de là, telle une baleine échouée sur la grève.

    Il faut quand même le dire, je me suis fait super mal ! Déjà hier, j'avais mal quand je riais. Aujourd'hui, j'ai tellement mal au dos que je fais en sorte de ne pas trop m'appuyer sur les dossiers de chaise. On dirait une mémé...

    Bon, au final, ça fait une bonne blague de Noël, me direz-vous ? J'ai envie de répondre oui...

    Sauf que non en fait : je viens de réaliser que je ne vais probablement pas être capable de transporter mon sac, demain matin, de la gare à chez moi sans pleurer de douleur... Que n'ai-je pas demandé au Père Noël une valise à roulettes ?

  • Looking for....

    Quelqu'un qui m'accompagnerait pour voir :

     
    1. Looking for Mister Castang avec Edouard Baer (hiiiiiiiiiiiii)
    C'est à la Cigale et c'est pas pour longtemps alors viiiiite faut réserver.
     

    2. L'enfer de la bibliothèque, Eros au secret.
    C'est une expo interdite aux moins de 16 ans, (ça tombe bien j'en ai pile 16 et demie) qui se passe à la BNF. Moins urgent parce que c'est jusqu'au 2 mars.
     

    Voila, envoyez-moi un courriel si parmi vous se trouve un(e) intéressé(e) pour qu'on s'organise !