Les néologités

Une de mes spécialités est de créer des mots quand celui que je cherche ne me vient pas ou lorsque ce que je veux dire est habituellement exprimé en une longue expression, voire n'a pas de mot adéquat. Je trouve personnelllement que le langage trouve à s'enrichir grâce aux brassages des langues et des cultures, les anglais par exemple peuvent transformer en verbe presque tous les mots, je trouve ça topesque !...

J'utilise par exemple régulièrement " gruyèreux " pour parler de mon cerveau. Pas besoin de faire un dessin, vous voyez bien de quoi il est question là… Alors que sinon, j'aurais dû expliquer qu'en ce moment, j'ai l'impression d'oublier des choses, sûrement pour cause de cerveau surchauffé… blablabla

 

Je ne m'en rends pas toujours compte avant de voir l'air interloqué de mes interlocuteurs. Ce qui peut parfois être gênant dans la mesure où j'exerce un métier génialissime dans lequel j'ai le pouvoir de donner à mes mots force des paroles d'Evangile… Bref, le problème c'est que j'ai aujourd'hui enduit dans l'erreur une personne dont le français n'est pas la langue maternelle. Du coup je me pose la question : est-ce que je devrais faire plus attention ?

Pfffff

Mais que c'est long ! Mais comme j'en ai marre ! J'avais oublié combien réviser prenait du temps !... Quand en plus on fait la maligne qui peut continuer à assumer en même temps les sorties hebdo au ciné et les soirées entre cops.. ben je pense qu'on sort de là sur les rotules ! A tous mes fans en délire, je dois donc dire que ma présence par ici risque d'être sporadique ces prochaines semaines. Non, ne pleurez pas, je suis sûre que Glu va vous noyer sous les notes ! ;o)

Bon ben j'y retourne, faut bien hein ? Admirez au passage comme je suis sexy quand je me concentre sur mes cours ? Dingue, non ???

 

Je tente ?

J'ai un dilemne : je vous appelle à la rescousse ! Attention ceci est un problème à plusieurs niveaux : En plein milieu de ma semaine de vacances tombe une journée d'épreuves de partiels. Deuxième niveau de difficulté : Je suis pas certaine de pouvoir passer le rattrapage 2 semaines plus tard. Si je veux passer cette épreuve je dois prendre le train à minuit/arrivée 7h00. Passer les partiels de 9h à 12h puis reprendre le train à 14h pour 6h et demie de plus. Au total, en 20 heures, j'aurais fait 13h30 de train.
Est-ce bien raisonnable ?

Je peux également choisir la solution à 160 euros pour seulement 10 heures de voyage. Je devrais consulter l'avion aussi tant qu'on est dans l'explosion de budget !

Le classique premier jour

Chaque mois c'est pareil...

J'oublie qu'on est en début de mois, je descends guillerette dans la bouche de métro si accueillante. Je sors mon ticket et l'introduis sans y penser dans la borne, j'avance et schklong !! je me prends en pleines cuisses (oui ben on fait la taille qu'on peut...) le gentil tourniquet... ben oui, *il faut acheter un nouveau ticket* (vois ch... et sirupeuse de la moi-même organisée) Comme l'entrée de métro que j'utilise ne vend pas de titres de transport, on remonte les escaliers, on va à l'opposé vers la bonne entrée, on descend une nouvelle volée d'escalier et... on fait la queue, comme tous les autres pas organisés qui ont pas pensé à acheter leur ticket.

Pourtant la RATP est super méga sympa, elle fait tout ce qu'elle peut pour nous faciliter la vie ! Sisi... Je pouvais acheter mon ticket du mois de mai depuis le 20 avril ! Chaque mois, je me dis même, vers le 19... "tiens, dans un jour ou 2 je devrais acheter mon ticket pour le mois prochain" et puis une sorte de vide intersidéral envahit mon cerveau et je m'en souviens le lundi 2 mai...

Je ne m'explique pas ce mystère !!