Des paillettes de chanson dans la tête grâce au concert de Clarika. Cette fille déchire tout grave sa mère je kiffe. Voila, c'est dit et je crois que c'était nécessaire. Et merci à mon hôte.
Des bisous impromptus autour d'une limonade dans un bar de routiers. L'inconvénient de devenir une no life trop longtemps c'est qu'on profite plus des gens qui sont chouettes et qui manquent en fait.
Des éclats de rire pétillants à base de pilosophie du bad boy, de gouda au cumin, de commentaires odieux devant la NS, de momies fossilisées dans le jury, d'auto-mute, d'avocat bonnet d'âne...
Des sourires de ravissement en lisant ou écoutant ou recevant vos messages gentils pour mon anniversaire. C'était un anniversaire pas tellement comme les autres mais c'était drôlement bien.
Des papillons d'impatience vite envolés tellement on a papoté et rigolé et raconté nos vies sans trop se poser de questions. Et puis partager le plaisir des livres dans les arbres. Bientôt le concert et d'autres choses j'espère.
Des moments de grâce remplis de gâteau au citron, de bisounours, d'amour, de patience et de remontage de bretelles (et d'ingratitude de ma part j'ai l'impression). Pourrais-je faire, sans ?
Des souvenirs pour toujours comme sa sublime déclaration d'amitié alcoolisée, son invitation à dîner préanniv, notre dégustation de cocktail NY style, cette discussion sérieuse sur fond de délire collectif...
Des blablatages mailiques sur les jeux d'enfants et la mochattitude, des riens a priori qui ponctuent mes semaines et qui me manquent les jours de rush.
Des sautillements de joie, c'est limite LE truc qui me tient debout depuis quelques jours : je pars en vacances dans 29 jours. Je vais pouvoir profiter d'elle pour la 1ère fois depuis... au moins !