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  • Le vrai faux scandale

     

    Vincent G.
    11.02.09 | 13h22
    Moi je suis d'accord avec Dany Boon. Je n'avais pas autant rigolé au cinéma depuis le dîner de cons. Mais manifestement, le rire ne fait pas partie des critères pour les Césars.

    Source Le Monde

    suite à cet article

     

    Eh bien non, Vincent, je me dois de te l’indiquer puisque visiblement tu ne le sais pas encore, le rire n’est pas un critère faisant d’un film un bon film au sens artistique du terme. Entendons-nous bien, je ne doute pas que Bienvenue chez les Ch'tis soit un bon film de comédie et je ne dis pas non plus qu’une comédie n’aurait pas sa place aux Césars ou sur toute autre liste de récompenses, mais on ne peut pas considérer que dans tous les cas, l’équation « blockbuster = bon film » soit vérifiable.

     

    Je suis désolée de le dire mais certains des films que j’ai le plus aimés n’ont rien d’autre à leur actif qu’un excellent scénario. Le reste n’est pas forcément mauvais mais ne sort pas de l’ordinaire. A l’inverse, certains films des plus soporifiques à mon sens avaient pourtant objectivement des costumes sublimes, des idées de réalisation tout à fait innovantes…

     

    L’idée n’est pas de dire que le film de Dany Boon est nul. Plutôt de dire qu’au niveau cinématographique, il n’innove probablement pas par grand-chose si on excepte l’idée développée. Sur ce point d’ailleurs, tout le monde s’accorde… La preuve, le film est en lice pour le meilleur scénario.

     

    Alors M. Boon -que par ailleurs j’aime bien- s’insurge de ce que l’intelligentsia parisienne serait méprisante avec les films populaires. Je veux bien... Seulement voila… à part le scénario, que peut-on relever chez les Ch'tis ? trouve t-on des idées de cadrage jamais vues ? les décors sont-ils particulièrement époustouflants ? les costumes ont-ils été très soignés ? la bande son est-elle d’une qualité hors du commun ?

  • ...Et un jour...

    Et un jour, j'ai réussi à accepter qu'un autre que toi... Et, ô surprise, il me plaisait bien, cet autre que toi. J'ai répondu favorablement à son invitation. Il a fallu annuler au dernier moment mais j'ai senti que j'avais franchi un pas. Que je n'étais plus uniquement dans l'attente de toi. Que je pouvais envisager que l'autre ne soit pas toi.

     

    Et un jour, cette révélation m'a frappée comme un coup de tonnerre : je n'étais plus capable de me souvenir de la dernière fois où j'avais pleuré à cause de toi.

     

    Et un jour, je tenais toujours bon ma décision de ne plus te contacter. J'avais même cessé de me morfondre. Je décidai de m'autoriser désormais d'être séduite par d'autres. Et puis aussi, je ne sortais plus jamais en portant ma tristesse en bandoulière. Être pimpante au dehors pour le devenir peu à peu au dedans. Je remontais la pente doucettement et c'était bon.

     

    Et un jour, tu m'as envoyé ce courriel bidon, me demandant une adresse que je t'avais déjà donnée 10 fois si ce n'est pas 50… Mais à quoi jouais-tu donc ? Quelle drôle de relation comptais-tu instaurer entre nous ? Et tu m'as invitée à déjeuner aussi. Et mon coeur s'est emballé à l'idée de combler un peu du manque causé par ton absence. Et j'ai accepté.

     

    Et un jour tu as posé ta main sur mon épaule pour me signaler ton arrivée au resto. Bien sûr j'ai su tout de suite que je n'étais pas guérie : j'étais incapable de m'empêcher de te respirer, de t'observer à la dérobée. Je devais me retenir de décrocher de la conversation pour me remplir de ta voix qui m'a toujours liquéfiée. Mais je n'avais pas le trac. J'étais juste moi. Et les larmes étaient loin.

     

    Et un jour, le jour de ce déjeuner donc, j'ai compris que j'étais enfin capable d'avancer, que mon état d'esprit évoluait. Si je le souhaitais, ta place pouvait désormais changer. J'étais celle qui avait le pouvoir de me libérer. Cette prise de conscience me permit de m'envisager avec lui, là-bas, qui avait l'air de vouloir. J'ai même sauté le pas et essayé d'être avec cet autre que toi.

  • Grelutest

    Alors comme tous les ans, figurez-vous que je me suis trituré les méninges avec des cops pour savoir quels critères permettraient de savoir si vous être ou pas une greluche.

    Après moults débats, voici donc la version 2009. Pas encore testée pour ma part.

    Je vous ferai part de mon résultat dès que possible ! En attendant, si c'est pas déjà fait, cliquotez sur l'image et découvrez si une greluche vit en vous.

    grelutest.jpg
  • Sans transition


    CLC est un vrai coeur ces derniers jours... ça va pas durer alors j'en profite.

    Je suis très très gravement atteinte de "je parviens pas à déprimer plus de 2 jours, faut tout de suite que je trouve des trucs chouettes pour contrebalancer..."

    Peut-être en 2010 j'irai à Bangkok. Je vais aller voir des concerts au printemps aussi. Vive l'irréalité.

    Jeudi je passe ma journée avec les schtroumpfs que j'adore...

    Les soirées où on connaît pas beaucoup les gens ça fiche la trouille et en même temps ça fait beaucoup de bien.

    Depuis hier matin, je chante sans discontinuer ça :