Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • La NS (2)

    « On va tous s’asseoir sur le ball » ou « on se connecte à l’intérieur de soi »
    Non mais franchement, avec de telles phrases, comment peut-on espérer que les candidats de la NS soient normaux ? Moi je dis qu’il n’y a rien d’étonnant à ce que tous ou presque aient des têtes d’attardés mentaux avec un entourage d’aussi haut niveau…

    Le jury n’est pas mal non plus avec ses phrases crétines : « J’ai eu deux Pierre, là. Ça m’inquiète ! » nous dit Dove Attia. Ma voisine de canapé a eu cette belle répartie drolesque : « Ben oui, il a fait de 2 Pierre un coup ! »

    Et que dire de la douleur ressentie par mes oreilles chaque fois que Soma pu Julie (que pourtant j’adore carrément) ouvrent leur bouche pour faire vibrer leurs cordes vocales. Non mais franchement, c’est possible à un moment, de laisser des casseroles pareilles squatter la télé. Heureusly, la belgette est là pour calmer les foules « Ouh là les filles, on se calme ! Y a des malaises ou quoi ? »

    J’ai eu la preuve aussi que quand tu envoies plein plein de sms lors du prime, tu as un cadeau de fidélité : pour fêter son 35.000ème sms, ma coupine a obtenu la venue de son chouchou, l’homme au short noir et à la collection de top 50 magazines qui est passé chanter un medley tout pourri juste pour ses beaux zyeux.

    Et finissons par le sujet qui fâche, je veux parler du grand débilou à la dégaine de constipé, aux postures dignes d’un enfant de 4 ans qui attend que la maîtresse l’autorise à aller aux toilettes…. Oui, je veux parler de Julien. Ce nullot qui reprend Alizée. « Fallait la chercher, là, Alizé » Je te le fais pas dire, Virginie, il a pas seulement réinterprété la chanson, il a réécrit la partition… Il me fatigue ce mec, dégagez-le maintenant que Soma a pris des vacances….


  • Inattention

    On papote tranquillou en marchant depuis quelques minutes et puis on arrive à l'endroit où nos chemins se séparent. Comme on est en train d'organiser un anniv, on continue la conversation devant les escaliers qui le mènent au métro. Et comme souvent, en cas de conversation dans la rue, on est parfois distrait par ce qui nous entoure, on regarde donc un peu ce qui se passe autour en même temps qu'on discute.

    medium_rue.jpgSauf que si moi, de temps en temps, je le regardais pour voir s'il suivait toujours... ben pas lui ! Pendant les 2 minutes qu'ont duré la fin de la discussion, il a photographié la totalité des membres de la gent féminine qui sont passés à moins de 238 mètres de nous. Du style à tourner la tête pour suivre du regard les jambes dénudées de la jolie brune, du style à changer de pied d'appui pour apercevoir par dessus mon épaule le décolleté de la belle blonde qui traverse la rue, du style à fixer le déhanché de la séduisante rousse qui s'éloigne... Comme je n'ai pas tout à fait renoncé à le faire succomber à mes charmes et comme je ne le connais pas assez pour oser me moquer de lui ouvertement, je n'ai pas osé exploser de rire et lui demander s'il souhaitait que je me pousse ou m'éclipse. Je me suis contenté de sourire très ouvertement sans pour autant qu'il en remarque rien. Rien que de taper cette note, je suis limite en train de rire toute seule devant mon ordinateur...

    Bref... au final je ne suis même pas sûre qu'il ait retenu quoi que ce soit de la fin de la conversation ni qu'il se souvienne du lieu ou de l'heure voire même du jour de l'achat du cadeau d'anniv... Je verrai bien le moment venu si je me retrouve à faire le pied de grue !

  • Give me novocaine

    Take away the sensation inside,
    Bittersweet migraine in my head,
    It's like a throbbing toothache,
    Of the mind,
    I can't take this feeling anymore

    Drain the pressure from the swelling,
    This sensation's overwhelming,
    Give me a long kiss goodnight,
    And everything will be all right,
    Tell me that I won't feel a thing

    So give me novacaine

    Out of body and out of mind,
    Kiss the demons out of my dreams,
    I get the funny feeling and that's all right,
    Jimmy says it's better than here

    Drain the pressure from the swelling,
    This sensation's overwhelming,
    Give me a long kiss goodnight,
    And everything will be all right,
    Tell me Jimmy, I won't feel a thing

    Give me novacaine

  • Il a chaud

     [ceci est une vieille note, qui devait au départ faire partie de la note "j'ai froid" mais ça faisait trop long alors je m'étais dit "tu feras sur deux jours". Puis des débats se sont intercalés et ce n'est qu'aujourd'hui que je publie cette deuxième partie]
    Nous expliquions (donc) précédemment comment Mademoiselle tente parfois désespérément d'attirer l'attention de Monsieur. L'utilisation du "j''ai froid" étant supposée être le summum du signal... Remarquons aujourd'hui dans la rubrique "nos amis les hommes" (en vrai, j'ai pas de rubrique nos amis les hommes parce qu'il n'y a pas le mot "ba" dedans... donc je le mets à ba(rbie) girl...) que parfois, c'est Monsieur qui sort l'artillerie lourde. Mais genre des trucs que si c'est la fille qui les tente, elle est illico classée dans la catégorie marie-couche-toi-là....

     
    medium_chaud.2.jpg- Monsieur a soudain l'odorat surdéveloppé : "Dis donc, ça sent drôlement bon... c'est ton nouveau parfum?" alors qu'il est déjà 19h58 et que Mademoiselle commençait justement à douter de l'efficacité de son déo...
    - Alors qu'ils étaient douze au resto, il insiste pour la
    raccompagner, elle, jusqu'au métro alors qu'il habite à l'opposé. 
    - Il a toujours du temps ou des idées pour l'aider quand elle a un problème alors même qu'elle n'a rien demandé.
    - Elle n'a pas l'air d'avoir froid mais il lui propose tout de même sa veste.
    - Il pense que personne ne le remarque mais il passe son temps à regarder la couleur de son soutien-gorge.
    - "Cette pluie (il bruine tout juste), c'est pas bon pour ton brushing, viens (traduire : colle-toi à moi) sous mon micro parapluie te protéger"...
    - Il lui téléphone sous les prétextes les plus fallacieux.
    - Il se renseigne sur son célibat de manière tout sauf subtile. "Sinon, David, c'est un copain ou TON copain ?"
    - Dès qu'elle s'éloigne, il a un truc à lui dire.
    - Il serait ravi de prendre un verre avec elle si elle passe dans son quartier... non vraiment, il insiste "Appelle-moi".
    - Il semble toujours avoir une bonne raison pour la toucher ou l'effleurer.
    - Il vérifie qu'elle écoute bien quand il raconte qu'il a passé la soirée avec une bombe atomique
    - Il a mal noté un truc en cours, il aimerait bien qu'elle lui passe le sien, et pourquoi pas prendre un café demain quand il les lui rendra ?. 
    - "Tiens c'est drôle, explique-t-il, j'ai pensé à toi hier en faisant écrire-ici-n'importe-quelle-idée-saugrenue si possible sans aucun lien avec Mademoiselle."
    - Il a bizarrement super envie d'aller voir un film d'horreur au ciné avec elle... et les potes qui devaient se joindre à eux ont tous un empêchement...
    Bref : Il fait gravement l'allumeuse.

     
    Mais pensez-vous qu'à la fin, Mademoiselle (qui est parfois obtuse elle aussi mais qui finit par se dire "y a un truc qui se trame là, non ?") parvienne à mettre Monsieur dans son lit ? Que nenni ! Parce que ce jeu peut durer 3.500 ans si elle ne secoue pas un peu tout ça ! (bon allez, faisons preuve d'honnêté, parfois, Mademoiselle, ça l'amuse bien aussi ce jeu...) Ou pire, si Monsieur n'est rien qu'une allumeuse, il doit même être capable de lui annoncer que... ah zut... il aurait peut-être dû le lui dire plus tôt ?... ben il est marié-père-de-5-enfants...
     (je ne mentionnerai pas ici le cas pathologique de l'homme qui fait croire qu'il vit au 21ème siècle alors qu'il est resté au moyen-âge "c'est à l'homme de faire le premier pas" puisque nous avons discouru de ce problème dans une note précédente....)