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Blog me tender - Page 103

  • La NS 2008 (7)

    Ce soir, j'ai regardé la NS chez Bob l'éponge et Patrick l'étoile de mer.
    Ça ne s'invente pas n'est-ce pas ?
    On a d'abord fait les gens cultivés qui savent ce qu'est le musée d'Orsay et le style art nouveau mais très vite, on a enlevé nos masques et on s'est vautrés sur le canapé.
    C'était pique-nique time trop bon : des légumes frais, des crevettes, des fromages, du pain qui croustille, du houmous, de la tapenade, du caviar d'aubergines...
    Et... mes premières cerises de l'année. MIAAAAAAM

    et hop, on voit tout le monde arriver sur l'écran de télé.

    Celui qui ouvre le bal, c'est Jules, le bébé coton-tige que nous appellerons désormais "the Hollywood lollipop" Il débarque et nous chante Isn't she lovely, un peu yaourt et carrément mou à mon avis et du coup je préfère son interprétation de De Palmas même si ça reste un peu moyen à mon goût. Mais bon, le jury adore alors que faire ?

    Ycare le cinglé reprend "quand on arrive en ville" C'est surjoué, comme souvent. Mais là où j'ai eu peur, c'est quand il a enchaîné avec "Bang Bang". Cette chanson est un peu au panthéon de mes titres préférés donc j'étais fort inquiète de ce qu'il allait en faire... mais au final, j'ai vraiment beaucoup aimé ce qu'il a fait. Un peu déglingos et inattendu mais bien. (Et figurez-vous que le jury à dit pareil ! Je dois avoir un don...)

    Benjamin, le fabuleux beau gosse qui ne sait pas encore qu'il rêve de partager mon lit (ou autre) reprend une chanson de Tété. Et ô surprise, j'adore la façon dont il la chante de manière un peu traînante. Idem pour le jury. Vient ensuite son classique, une version perso de Just the 2 of us. "He's jazzing it up" nous dit l'étoile de mer : et c'est vrai ! Le jury fait pipi dans sa culotte tellement il aime...

    Ken ce soir, il a tout déchiré j'ai trouvé. D'abord une reprise génialissime de Kylie Minogue, avec sa voix profonde et sa dégapine toute calme, ça fait juste parfait et ensuite, "La Ceinture" de la miss Elodie Frégé (je fais ici un aveu : je l'adore cette fille) Alors que je trouve hyper sympa qu'il se la joue tout en retenue, le jury lui reproche de pas avoir joué sur la séduction. "J'ai pas été prise sous la ceinture, moi" nous annonce élégamment Lio qui ne portait ce soir qu'une gaine. Au sens propre... "ben moi j'ai été pris sous, derrière, à côté de la ceinture" rétorque tout aussi finement le Manoukian des bois...

    Amandine (qui a l'air d'avoir emprunté les fringues de sa maman) se vautre sur Allumer le feu de Johnny (en même temps quelle idée de chanter ce truc ???) et réussit ensuite le tour de force de ne mettre aucune émotion dans sa reprise de "beautiful" de Christina Aguilera. C'est juste un comble quand on sait la voix sublime qu'elle a. Du coup, jury partagé et débat sur l'état d'érection des poils de bras des membres du jury : passionnant ! Sisisi...


    Et c'est la Hollywood Lollipop qui est partie. Il fait le kakou "j'espère vous prouver que vous avez eu tort" mais moi je dis surtout : "bon débarras"

  • Ca va pas

    Voila.

    C'est dit.

     

    Et ce n'est rien de très grave je vous assure.

    Juste une sorte de coup de blues qui dure plus d'une heure (c'est leur durée moyenne chez moi habituellement)

    Dont je n'ai pas envie de parler.


     

    Il ne s'agit pas d'une note pour me faire chouchouter

    Il ne s'agit pas d'une note pour vous inquiéter

     

    Si je publie aujourd'hui c'est parce que :

    - faut que ça sorte un peu même si je veux pas en discuter avec ceux que j'aime et qui m'aiment (enfin j'espère)

    - on me reproche de jamais le dire au moment M

    - je veux présenter des excuses pour les dommages collatéraux éventuels

     

    Mais si, vous les connaissez tous, les dommages collatéraux :

    - je fais l'escargot qui a peur et je me terre dans ma coquille sans parler à personne

    - je suis hystérique de rire et de sourire pour tenter de faire bonne figure en société

    - je suis parfois désagréable sans le vouloir parce que je suis à fleur de peau.

     

     

    Ca va pas

     

    Mais ça va aller

     

    Voila

    C'est dit.

  • Sweets

    Oui, les sucreries c'est le mal.

    Il faut pas en manger.

    Surtout des trucs industriels trop mauvais plein de petits bidules chimiques.

    En plus, je sais bien que quand on est adulte, on doit être raisonnable et manger sainement, montrer l'exemple, ne pas se gaver de cochonneries. Mais bon, voila, c'est quand même pas si grave d'aller acheter une bouteille d'eau durant sa pause et de revenir avec quelques articles non prévus, si ?? (peut-être que je devrais me mettre à n'aller qu'au marché, moi aussi...)

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    Les carambar à la barbe à papa, non seulement ils contiennent que des blagues nullissimes (genre le hamster qu'a pas sa carte orange sur lui... pfff non mais je vous jure ! ) mais en plus, il n'a pas goût de barbe à papa du tout du tout. C'est une vieille arnaque. Du coup, je les ai offerts à Ginette quand elle est venue me demander comme tous les jours si j'avais un "truc à grignoter"...

    En revanche, le paquet plein de bonbons krema mous à tous les goûts, c'est cool. Y a des batna (ceux à la réglisse) et des goûts "nouveaux" genre pomme verte chimique et coca. Plus les classiques. Bref, c'était slurpesque.

    Et puis aussi, les ceux que j'adore trop, ceux qui sont super acides et t'emportent la langue et les papilles. 

    Bref, un chouette moyen de fêter la clôture des 2 dossiers les plus chronophages et anxiogènes que j'avais dans mon tas de trucs à faire, non ? J'ai encore plein de boulot qui attend mais bizarrement, je me sens comme désoeuvrée. 

     

    Quelqu'un a essayé les Arlequin mous ? C'est comment ? 

  • Et si c'était vrai..

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    Arthur vient de s'installer dans son nouvel appartement et y croise un jour Lauren, une sorte de fantôme qui vit dans son placard. Il vient de s'installer à San Francisco parce qu'il a rompu et son entourage a donc le plus grand mal du monde à croire à son histoire, pensant qu'il s'agit là d'une manifestation de sa dépression. Pendant ce temps, Lauren est dans le coma à la suite d'un accident. Et Arthur ne peut pas accepter de la laisser seule, sans aide. Un jeu de cache-cache, une rencontre inédite va alors avoir lieu...   

    J'ai découvert Marc Lévy à la télé. C'est rare, très rare que je découvre un nouvel auteur grâce à une interview. Théoriquement, la télé -si elle peut être un moyen de me confirmer que j'ai envie de découvrir tel écrivain ou titre ou histoire- n'est que rarement prescripteur de lecture. Mes envies naissent toujours de hasard ou de discussions avec d'autres lecteurs. Mais là, j'ai tout de suite été charmée par l'histoire de cet architecte qui voit son premier roman (l'histoire qu'il a inventée pour endormir son fils) publié par hasard.

    Quelques temps plus tard, je dîne chez une amie qui a laissé traîner le livre sur son canapé et qui, me voyant le feuilleter, me propose : "Je te le prête, j'ai beaucoup aimé." Hop, adopté !

    Et le soir même, je l'ouvre et... je ne le repose qu'une fois terminé. Une fois ouvert, impossible en effet de lâcher ce livre. Chaque chapitre terminé, je me disais : "Bon, il faudrait éteindre là quand même." Mais en fait, je voulais savoir comment ça finissait. Je l'ai donc lu d'une seule traite. On peut dire que Lévy, ça se lit très vite. On ne s'attarde pas 107 ans sur les états d'âme torturée des héros ni sur des pages entières de descriptions philosophiques sur l'avenir du monde. L'histoire est simple et très efficace, sans enjolivures inutiles ni digressions pompeuses propres à certains écrivains dont on se demande s'ils écrivent pour nous ou pour leur seul plaisir. Là, j'ai été embarquée dans la vie de deux personnages très attachants...