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  • On a retrouvé Katherine Chancellor

    medium_dt_yr_act_large_jcooper.jpgAh les vacances, ça fait du bien de se lobotomiser devant un épisode palpitant des Feux de l'Amour sur TF1. Depuis quelques temps déjà je me posais une question essentielle à la survie de l'humanité : Mais que devient Katherine Chancellor ? Elle a tout simplement disparu du petit écran... quel malheur ! 

    Pas une lettre, pas un sms, pas un mail rien... le silence total. Katherine, femme élégamment liftée à trois reprises de 83  ans, fait la joie des retraités et des patients en gériatrie de la France entière depuis plus de 30 ans. Car oui, Catherine a été livrée avec le soap opéra de CBS. Elle a tout connu, alcoolisme, mariages à répétition, prostitution... oups je m'égare, complots etc.  Mais elle résiste, malgré le malheur et la canicule !

    Et voilà que j'allume la télé et que je tombe sur Katherine en grande conversation au Crimson Light ("Néon écarlate") avec Sharon - je chiale tous les épisodes -, directrice de l'établissement de prestige. Je me redresse dans mon canapé et j'esquisse un grand sourire de satisfaction. "Ah ben mémère t'as retrouvé le chemin du bar" me vient tout de suite à l'esprit. Mais je balaye d'un mouvement de tête cette vilaine pensée et contemple celle qui fait mon admiration. Une bague à chaque doigt, des lèvres d'un rouge incandescent, collier de perle, boucles d'oreilles 1950, fond de teint ultra couvrant, manteau de vison (qui a dit "en plein été ?" !!!) et brushing impeccable apportent une touche d'originalité et de classe. Katherine les enterrera tous, elle est increvable. Merci les Feux de l'Amour de l'avoir ramenée :) 

     Maintenant une question me taraude : Jill est-elle toujours vivante ? La suite au prochain numéro...

     

  • Tant pis... c'est bien dommage...

    Ben mine de rien... on croirait pas hein ? mais ce type de phrase, ça fait super du bien à entendre ! Moi par exemple, (ben oui, vous imaginiez pas sérieusement que je venais ici évoquer autre chose qu'une anecdote qui me soit arrivée à moi personnellement ???) j'ai entendu ça en revenant de déjeuner.

    J'entre dans l'ascenceur, arrivent deux jeunes gens. Moi, je suis donc, comme je l'ai déjà indiqué il y a quelques jours, (faut suivre un peu hein ? et si vous zêtes nouveau, faut lire les archives... suivre un blog, ça demande de l'investissement personnel quand même !!) je suis du genre gentille crédule qui dit bonjour le sourire aux lèvres parce qu'elle pense qu'il faut être poli. Bref, je souris et ils se rendent compte que l'ascenceur monte alors qu'ils vont au sous-sol. Ils laissent donc les portes se refermer en disant "Tant pis... c'est bien dommage.... oui, vraiment dommage..." Mon sourire s'est bien élargi. J'ai redressé les épaules, rentré le ventre et me suis mirée dans le miroir de l'élévateur. Tout ça parce que j'ai pensé "je rêve ou c'est un compliment par ricochet ???"

    medium_sexy.3.jpgBref, ça m'arrive à peu près jamais ce type d'aventure donc je dois avouer que je me suis sentie plus jolie pendant quelques instants et que le fait d'y repenser me fait plaisir...

  • Les phrases du mardi (3)

     Il y a des moments où tu peux tomber sur un coup de foudre.   Raymond
     
    Ca peut être une invitation banale comme ça peut être une invitation pas banale.
    Je sais pas ce qu'il lui est passé par sa tête.
    Si vraiment il se passerait quelque chose avec une autre tentatrice (...)    Emeline

    On est tous les deux pas dans le droit chemin.   Vincent

    Elle me montre pas le bout de ses pensées.
    Je suis devenu en mode ouf (...) en mode je vis ma vie.
    Je suis un peu parti en cacahuète.    Harry 
     
    Je le reconnais pas du tout... mais bon c'est lui...
    Il est comme ça avec moi mais pas avec une inconnue qu'il connait depuis une semaine.
    Je vais pas me casser la figure pour un mec comme ça.
    A l'heure d'aujourd'hui (...)
    Il m'a lâchée, Vincent, Il m'a lâché la main donc faut que je me relève toute seule.
    On a fait du <spid boott>, du bateau qui va très vite.   Mélanie

    Shanice, c'est comme une pieuvre, si elle met la main sur toi, t'es foutu.
    Je me laisse à rien penser.
    Je suis un peu sur mon mirage.
    (...) et que je me laisse aller là où ça me mènera.
    Disons que Gyselle, c'est une curiosité pour moi.
    Sandra, elle aura beau changer demain, elle aura beau devenir une autre tout en restant Sandra...    Eric

     

    Mon avis perso : mention spéciale à Harry et Eric dont chacune des interventions pourrait faire l'objet de fous rires inextinguibles... Et je dois indiquer que l'une des filles n'est jamais citée, c'est Sandra. Paradoxalement, le français n'est pas sa langue maternelle mais elle le parle mieux que les autres ! Ce qu'elle dit est censé et souvent très juste. En plus, je me permettrais pas de juger les fautes de français d'une étrangère.
  • Nos jours heureux

    medium_jours.jpgBon, je suis entrée dans la salle avec un a priori positif vu que j'aime beaucoup Jean-Paul Rouve et que la seule vision de Mister Omar me fait monter le sourire... Sauf que souvent, quand c'est moi qui traîne un glu réticent au cinéma, le film s'avère super moyen. Pas là ! Le film raconte les aventures d'un directeur de colo qui n'a visiblement pas bien délimité où commence et où finit sa vie et celle de son père et qui pour la première fois va devoir gérer une équipe de mono pour 3 semaines de colo en Charente-Maritime. Outre la galerie de portrait pour faire rire (et ça marche, j'ai vraiment bien rigolé dites donc !) on entre quand même dans la psychologie des rapports humains : ceux entre ado, ceux entre les parents et les enfants, ceux entre les mono... Tout ne semble pas cliché. Du moins à mes yeux de néophyte.

    Ben oui, je n'ai jamais de ma vie été en colonie, et d'ailleurs au fond, je le regrette un peu pour tout dire... Je suppose donc que j'idéalise carrément ce que c'est que de passer 3 semaines au milieu d'enfants inconnus et de moniteurs pas tous au top de la pédagogie et de la motivation. Mais je suis sûre qu'à la fin du film, j'ai ressenti un peu de ce que vivent les enfants et leurs moniteurs : quand j'ai senti que la fin du film approchait, j'avais une sorte de boule de nostalgie dans la gorge, je voulais que le film dure encore, que les 3 semaines de colo ne soient pas déjà finies.