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  • (Double) Couch potatoe

    Enfin potatoe faut déconner, on est top délire sexy hypra fuckable.

    Bref, un des trucs sympa avec la télé en général et la télé dite poubelle par certains, c'est de se raconter à chaud ce qu'on ressent en voyant les images, en entendant les commentaires, en découvrant les péripéties qui se déroulent sur l'écran. (Je dis pas petit parce que désormais, certains sont très larges)

    Alors quand on est célibataire et sans coloc, c'est un peu compliqué de partager ce type de trucs. On trouve donc des expédients : les soirées girly devant la Nouvelle Star, le squattage de canap avec sushi et amis pour suivre la Starac par exemple.

    Mais le mieux, le top du top, c'est que j'ai une copine de télé par chat ou téléphone selon les cas et la caractérisation de l'urgence.

    tv.jpg

    Il y a donc des jours où je suis devant la télé, elle aussi et soudain bling ! On commence à délirer. Pas tout le temps, pas toutes les secondes. Mais quand ça fait tilt, on se le raconte par onomatopées, smileys et exclamations diverses. Le truc rigolo c'est quand on réagit en même temps.

    Parmi les moments géniaux : comment avoir mal aux abdo de rire devant Elliot le détective qui s'y connaît en planque miteuses, comment se moquer comme des cinglées des participants à Confessions Intimes ou Le Grand Frère, comment halluciner en voyant les recherches d'appart' des autres, comment raconter n'importe quoi à cause du départ d'Edouard, comment demander confirmation de ce qu'on a compris de la série en cours, comment téléphoner toute la durée de l'île de la tentation...

    En plus de ma régulière, j'ai des invitées : l'île de la tentation, Elliot ou autre sont parfois suivis en direct live avec plusieurs personnes. Ca devient le gros bordel et c'est très fun.

    Si vous voulez participer : bienvenue !
  • Pendant ce temps à Veracruz...

    Pendant ce temps dans l'Océan Pacifique, le 7ème continent est né. Pas encore habitable mais déjà nocif. Moi, ça m'a fichu la trouille et j'ai un peu traîné ensuite sur Internet pour en savoir plus. Giflée.
    Merci à Sufragettes

    Pendant ce temps à Nice j'ai pour la première fois réfléchi à la meilleure façon de prendre mes photo.
    Merci à Thomas dont l'absence crée un gros vide !

    poupoupidou.jpgPendant ce temps à Paris, je veux les mêmes courbes qu'elle mais bon faut pas rêver alors je me contente d'aller me marrer tous les jours devant ses tribulations.
    Merci à Olivia

    Pendant ce temps à la maison, ça sent le tabac froid et le vin rouge et la pizza et la fessée et le bonheur des rigolades.
    Merci à mes amis.

    Pendant ce temps sur mon téléphone portable, un message : c'est non. Pas de nouveau travail. Juste l'ancien qui continue.
    Merci à mon karma.

    Oui merci.

    J'ai réfléchi et tout est bien.

    C'était pas le moment tout bêtement.

    Je vais me concentrer sur tout le reste qui remplit ma vie.

    Près ou loin. Nouveaux ou anciens. Je vous aime, les gens.

     

  • Les mercredis des musicos surfeurs (9)

    Parfois le surfeur est juste épuisé. Epuisé d'émotions, de tentatives ratées, de j'aimerais bien mais y a pas moyen, j'ai essayé plein de trucs mais rien ne fonctionne. C'est pas que l'envie ne soit pas là, non, juste que c'est pas le moment, pas le bon spot, pas ce qu'il faut quoi. On sent bien qu'il manque pas grand chose, que rien ou presque suffirait à rendre le moment propice sauf que quand ça veut pas, ça veut pas.

    Et tout le monde l'aura compris, on y est un peu là. J'ai plein d'idées, d'envies, de musique de surfeur prête et puis voilà. Oui voilà, j'y arrive pas. Je m'y suis pris trop tard, j'ai la tête pleine de choses à raconter mais pas forcément de la musique. Pourtant tout est là, tout est en place. Les règles et les idées. Une liste de thèmes à associer aux musiques que j'écoute souvent. Mais non. Rien.

    En tant normal, je serais atterrée : tout le groupe de potes est là, à surfer tranquillou et voila t-il pas que moi je fais ma looseuse qui respecte pas le mood collectif. qui fait du refus d'obstacle. qui traîne quand tout le monde attend. qui se ridiculise, même ? Oh et puis zut, non ? La dictature du groupe ça va bien 5 minutes. Les vagues, faut les sentir. Le surf, c'est pas une bonne idée quand on n'est pas à fond, quand on minaude. Tout ou rien.

    Fut un temps où j'aurais été à la limite de la panique. Que vont penser les gens ? Que va penser mon commanditaire ? Et puis en vrai, je parviens désormais à m'affranchir de la pression que je me mets toute seule. Si ça plaît pas ben personne lira, si c'est bien nul ben ça sera pas publié dans le mercredi de la musique des plaies et est-ce que je vais en mourir ? Je pense que non...

    Certains jours, on a beau avoir le surf, les vagues de folie et l'envie... ça veut pas c'est tout. Y a probablement des raisons à ça mais ai-je envie de les expliquer ? Probablement pas aujourd'hui !

     

    Alors laisse moi
    J'ai pas envie de te plaire
    Ni le temps d'expliquer
    Laisse moi

     

     

    Bon je vous laisse, je dois enfiler ma combi et farter ma planche !

  • I call it...

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    Une certaine idée du bonheur.

     

    Des balades, des discussions à n'en plus finir, de la vapeur, du picon bière, ses fossettes, des colliers, du musée, des couleurs.

    Partager, sourire, s'émouvoir, avoir envie.

    On marché assez pour se fatiguer les muscles mais ouf, on a mangé des cookies qui déchirent et une glace, mais aussi des antipasti et des ravioli de chez le traiteur rital.

    Je suis comme chez moi ou presque, un des endroits où je suis le plus moi, le moins inquiète à l'idée de faire des impairs. Ils sont tout simplement ma famille probablement...

    Et puis grâce à la grève des pilotes, des minutes volées à mon employeur. C'est un cadeau tombé du ciel, au sens propre presque !

     

    La cerise sur le gâteau : une sieste sur la plage, mi-novembre. Je peux me la péter 5 minutes orgamisques ou bien ?

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    Ma chanteuse préférée le chante très bien alors je partage :

     

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    Non, la vraie cerise, c'est ouvrir sa valise et avoir les larmes qui montent aux yeux de plaisir : posé sur le dessus se trouve une surprise (c'est écrit dessus) laissée là sans que je m'en aperçoive. J'ai un nouveau collier en plus de ceux que je me suis offerts ce week-end !