Du coup, mal aux jambes à partir de 14h, recherche d'ombre, étalage sur le gazon devant la cathédrale, pause frites ou hydratation toutes les 2 heures... et surtout, mort prématurée le soir qui a obligé notre hôte à nous amener au lit assez tôt !
L'Atomium sous le soleil au zénith.
Éblouissant de lumière, un peu labyrinthique et plein de mystères, ce monument s'escalatore ou s'escalier. C'est son demi-siècle cette année alors il fait un peu le malin, vous vous doutez !
La boutique de Tintin.
Bon moi je le déteste, ce débile à houppette, il a l'air d'un crétin je trouve (les personnages secondaires sont bien mieux réussis) mais j'étais accompagnée d'une sorte de fan. Alors arrêt obligé.
La Grand-Place 68 fois.
Volontairement ou non, nos pas revenaient régulièrement vers la Grand Place. La première fois que je l'ai vue, il y a quelques années déjà, je pensais que ça allait être chargé. Mais en fait non. C'est inexplicable mais tous ces bâtiments s'harmonisent à merveille.
Un hôte absolument parfait.
Qui explique où se trouve la rue des Pitas, nous entraîne manger des croustillons, raconte 1001 anecdotes, s'assure qu'on ne manque pas de bière, a l'air de bien aimer sa ville et la partage très généreusement.
Des expériences culinaires bigarrées.
Les frites bien sûr mais surtout la sauce samouraï. Et puis les croustillons qu'on trouve à la foire. Ou encore les gaufres de Bruxelles ou de Liège. Miam la pâte à tartiner au speculoos. On n'a pas tenté la mitraillette en revanche.
Plein de pensées et de souvenirs aussi. D'avant, mais aussi pour plus tard...
Les noms de rues poétiques ou loufoques, les speculoos, les cartes postales, les gaufres, le métro Louise, des restes de murs d'enceinte, des supporters d'Anderlecht, la ligne rouge du métro, la Halle devenue bar, le guide laissé à la maison, les façades disséminées, le musée qui va fermer, les églises fraiches...
De la fatigue heureuse pour 3 jours.
Après une journée de 22h dont la moitié passée à marcher sous la canicule, difficile de se contenter de 6 heures de sommeil (je crois ? j'ai pas regardé l'heure) et de repartir illico en goguette le lendemain. D'un autre côté, ça fabrique des sourires pour quelques jours !