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Du pop-corn, Ba ? - Page 3

  • To be Seen

    Le Parrain (je pense que tout le monde l'a vu sauf moi... Est-ce que je dois tous les voir en revanche ?)

    Un Maurice Pialat (va falloir que je sache comment choisir maintenant...)
     
    Rocky Horror Picture Show (on a prévu puis pas pu organiser une soirée RHPS... faut que je m'y attelle)

    Le Lauréat (on ne peut pas aimer Simon & Garfunkel à ce point et ne pas voir ce film j'ai l'impression)

    Casablanca (scène de fin mythique vue 20 fois mais pas le film...)

    Orange Mécanique (j'écoute souvent la BO et pourtant, aucune idée du thème ni rien)

    Hotel du Nord (Atmosphère quoi...)

    Internal Affairs (Après en avoir entendu parler lors d'une soirée ciné, j'ai super envie de découvrir)

    Fight Club (Je vais le lire sous peu, donc ensuite, je serais curieuse de découvrir ce film devenu symbolique pour toute une génération)

    In the mood for love (Ben oui, mon inculture cinématographique est assez abyssale)

    popcorn.jpg




     Vous pensez que je peux aussi demander de la compagnie pour rattraper mon retard ?

  • Indiana Jones

    Cette note ne contient pas de spoiler !

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    Je vous aurais bien raconté comment le crane de cristal du British Museum ressemble pas tellement à celui que Indiana recherche dans le film mais c'est pas le sujet.

    Je vous aurais bien dit que cet épisode m'a déçue parce qu'on dirait une sorte de pastiche et que du coup j'ai été déçue. Et en même temps, j'ai pas vu le temps passer du tout.

    Dans cet opus intitulé Indiana Jones et les 7 boules de cristal, c'est le grand n'importe quoi de l'improbable. On cherche parfois limite Tintin tellement certaines scènes sont grotesques et puis on se dit finalement que c'est peut-être Lara Croft qui va apparaître derrière le tas de caisses en bois là-bas, mais en fait non ! Car voila qu'on retrouve le Professeur Tournesol, en fait... Y a aussi un peu de James Bond. Mac Gyver apporte même ses connaissances en poudre à canon. Des graves erreurs "d'ambiance" à mon sens.

    Mention spéciale à Cate Blanchett particulièrement contre-performante, à Shia LaBeouf qui manie super bien le peigne et à mon organisation sans faille qui nous a fait rater les 5 premières minutes. 

    En bref, je vous aurais bien raconté le film mais ça n'en vaut pas la peine. On était tous d'accord pour le dire en sortant du ciné. Alors on s'est consolé autour d'un verre (et d'une tartine pour l'affamée que je suis) dans un café sympa où d'après ma cop, le serveur (plutôt comestible pour l'affamée que je suis) aurait été d'accord pour prendre mon numéro de tél. Mais je suis franchement pas si sûre...

  • Il était une fois

    d9d4f60ec29c09718a1b0853417e7e72.jpgCe film met de bonne humeur. Définitivement. Parce qu'il y a de la chanson digne de Disney, parce que les acteurs, les images sont tout lumineux, parce que c'est plein de bons sentiments, parce que New-York, parce que Docteur Mamour... mais surtout, parce que c'est très drôle. Si si je vous assure : j'ai ri à gorge déployée à de nombreuses reprises. Il y a énormément d'ironie, de références et de détournements des clichés de ce style de film. (avec notamment la fameuse scène façon Blanche-Neige où on voit des blattes aider la princesse à faire le ménage en chanson !!)

    Et puis, ce qui ne gâche rien, les acteurs sont vraiment très bons ! Incroyable à dire mais l'actrice principale est absolument crédible en princesse naïve échappée du pays des contes de fée qui s'étonne à voix très haute, est ébahie de chaque détail, s'émeut de tout. Ne parlons pas de James Marsden, au top en prince fat et bellâtre...  

    De toute façon, même sans tous ces arguments tout droit venus de bisounoursland, en toute objectivité et adulterie, un film qui contient des morceaux de chanson qui disent : 

    " Four lips are the only things that touch
    So to spend a life of endless bliss
    Just find who you love through true love's kiss"

    et qui disent aussi : 

    "You've got to show her you need her
    Don't treat her like a mind reader
    Each day do something to need her
    To believe you love her"

     et bien, FORCEMENT, c'est un film trooop bien !

    ^^ 

  • American Gangster

    153e74e49c73b9544a24f2893cbeb6f5.jpgFin des années 60 début des années 70, la guerre du Vietnam fait rage. C'est aussi l'époque de la French Connection. On est à New-York où sevit la mafia. Et les Etats-Unis doivent faire face à un véritable problème de santé publique : la vente de drogue se développe à toute vitesse. On crée donc des services spécialisés dans le démantèlement de réseaux pendant que la police classique arrête les petits dealers.

    Et c'est dans cette ambiance qu'on va suivre en parallèle (i) la première enquête aux stups d'un flic un peu looser mais intègre et (ii) l'ascencion fulgurante d'un génie de l'organisation de malfaiteurs qui parvient à faire de l'ombre à tous les gagnsters en place à l'époque. 

    Je me souviens qu'à un moment je me suis dit : "bon, quand est-ce que ça commence ?" mais je me souviens aussi qu'ensuite je suis restée scotchée à l'histoire. Parce que vraiment, une grande force de ce film, c'est définitivement le scénario.

    L'autre grande force c'est bien sûr le casting fabuleux (tous, tous, sont tellement crédibles que je me demande presque s'ils jouaient la comédie...) et, un peu comme dans les Affranchis je trouve, c'est le sens du détail le plus infime (galerie de personnages fouillés, anecdotes, décors...) J'ai même été la seule sursauté au moment le moins inattendu de tout le film, c'est dire si c'était prenant.

    J'ai affronté la grève, le froid et la pluie pour aller le voir ce soir. Ensuite, j'ai failli mourir de faim en attendant que ma soupe petit pois menthe réchauffe. Et franchement, ça valait sacrément le coup !  Bref, courez-y...