Si vous permettez je vais choisir aucune des 3 propositions :
- mes menus du moment ressemblent à ceux d'une étudiante vivant seule pour la première fois (houmous - tarama- fromage - pain de mie - thé - dragibus pour les fruits)
- le dernier truc que j'aie regardé à la télé c'est une rediff de vieux vieux épisodes de PBLV sur France 4 hier soir à 3h30 du matin suite à une crise d'insomnie
- je n'ai toujours pas utilisé ma carte de sport tant je suis débordée *et* fatiguée et je ne crois pas que vous vouliez que je vous raconte mes cris devant la fed cup
Non, comme c'est la 600ème, je vais vous raconter comment j'écris mes notes. Je n'ai aucun e idée de ce que vous vous dites en les lisant mais il y a plusieurs catégories :
celle écrite d'une traite, au boulot souvent, après lecture/entendage de trucs qui me font réagir
celle écrite dasn ma tête pendant des jours avant que je me lance sur le clavier
celle griffonnée sur mon carnet puis recopiée quand j'ai le temps
celle qui raconte ma vie, romncée souvent je dois bien l'avouer
celle dont chaque mot a été soupesé, réfléchi et choisi pour sa signification première mais aussi sous-entendue, paragraphes rangés minutieusement et reformés jusqu'à ce que je sois satisfaite
celle qui raconte la vie des autres mais je fais comme si c'était la mienne
celle qui me permet de voir plus clair ensuite parce que j'ai mis des mots sur ce qui me hante
celle qui raconte des choses sur moi alors qu'elle n'en a pas l'air
celle sous contrainte : la télé du mardi, les surfeurs du mercredi, les idées imposées par mon chef de chez là-bas, les tags...
celle-ci : rédigée sous contrainte, dans le métro, d'une traite, sur un carnet, sans rature ou presque, dit des choses sur moi finalement...
Et le plus drôle : certaines notes qui me semblent toutes nullottes ou écrites sur un bout de genou vont vous donner envie de me dire plein de choses en comm' et d'autres plus précieuses ou plus profondes (me semble t-il) ne suscitent aucune réaction.
pour toutes : j'aime cette incertitude, ce petit moment d'apnée que je ressens encore et chaque fois en cliquant sur "publier maintenant". Même à la 600ème fois !
Blog me tender - Page 69
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600
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Le vrai faux scandale
Vincent G.
11.02.09 | 13h22
Moi je suis d'accord avec Dany Boon. Je n'avais pas autant rigolé au cinéma depuis le dîner de cons. Mais manifestement, le rire ne fait pas partie des critères pour les Césars.Source Le Monde
suite à cet article
Eh bien non, Vincent, je me dois de te l’indiquer puisque visiblement tu ne le sais pas encore, le rire n’est pas un critère faisant d’un film un bon film au sens artistique du terme. Entendons-nous bien, je ne doute pas que Bienvenue chez les Ch'tis soit un bon film de comédie et je ne dis pas non plus qu’une comédie n’aurait pas sa place aux Césars ou sur toute autre liste de récompenses, mais on ne peut pas considérer que dans tous les cas, l’équation « blockbuster = bon film » soit vérifiable.
Je suis désolée de le dire mais certains des films que j’ai le plus aimés n’ont rien d’autre à leur actif qu’un excellent scénario. Le reste n’est pas forcément mauvais mais ne sort pas de l’ordinaire. A l’inverse, certains films des plus soporifiques à mon sens avaient pourtant objectivement des costumes sublimes, des idées de réalisation tout à fait innovantes…
L’idée n’est pas de dire que le film de Dany Boon est nul. Plutôt de dire qu’au niveau cinématographique, il n’innove probablement pas par grand-chose si on excepte l’idée développée. Sur ce point d’ailleurs, tout le monde s’accorde… La preuve, le film est en lice pour le meilleur scénario.
Alors M. Boon -que par ailleurs j’aime bien- s’insurge de ce que l’intelligentsia parisienne serait méprisante avec les films populaires. Je veux bien... Seulement voila… à part le scénario, que peut-on relever chez les Ch'tis ? trouve t-on des idées de cadrage jamais vues ? les décors sont-ils particulièrement époustouflants ? les costumes ont-ils été très soignés ? la bande son est-elle d’une qualité hors du commun ?
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...Et un jour...
Et un jour, j'ai réussi à accepter qu'un autre que toi... Et, ô surprise, il me plaisait bien, cet autre que toi. J'ai répondu favorablement à son invitation. Il a fallu annuler au dernier moment mais j'ai senti que j'avais franchi un pas. Que je n'étais plus uniquement dans l'attente de toi. Que je pouvais envisager que l'autre ne soit pas toi.
Et un jour, cette révélation m'a frappée comme un coup de tonnerre : je n'étais plus capable de me souvenir de la dernière fois où j'avais pleuré à cause de toi.
Et un jour, je tenais toujours bon ma décision de ne plus te contacter. J'avais même cessé de me morfondre. Je décidai de m'autoriser désormais d'être séduite par d'autres. Et puis aussi, je ne sortais plus jamais en portant ma tristesse en bandoulière. Être pimpante au dehors pour le devenir peu à peu au dedans. Je remontais la pente doucettement et c'était bon.
Et un jour, tu m'as envoyé ce courriel bidon, me demandant une adresse que je t'avais déjà donnée 10 fois si ce n'est pas 50… Mais à quoi jouais-tu donc ? Quelle drôle de relation comptais-tu instaurer entre nous ? Et tu m'as invitée à déjeuner aussi. Et mon coeur s'est emballé à l'idée de combler un peu du manque causé par ton absence. Et j'ai accepté.
Et un jour tu as posé ta main sur mon épaule pour me signaler ton arrivée au resto. Bien sûr j'ai su tout de suite que je n'étais pas guérie : j'étais incapable de m'empêcher de te respirer, de t'observer à la dérobée. Je devais me retenir de décrocher de la conversation pour me remplir de ta voix qui m'a toujours liquéfiée. Mais je n'avais pas le trac. J'étais juste moi. Et les larmes étaient loin.
Et un jour, le jour de ce déjeuner donc, j'ai compris que j'étais enfin capable d'avancer, que mon état d'esprit évoluait. Si je le souhaitais, ta place pouvait désormais changer. J'étais celle qui avait le pouvoir de me libérer. Cette prise de conscience me permit de m'envisager avec lui, là-bas, qui avait l'air de vouloir. J'ai même sauté le pas et essayé d'être avec cet autre que toi.
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Grelutest
Alors comme tous les ans, figurez-vous que je me suis trituré les méninges avec des cops pour savoir quels critères permettraient de savoir si vous être ou pas une greluche.
Après moults débats, voici donc la version 2009. Pas encore testée pour ma part.
Je vous ferai part de mon résultat dès que possible ! En attendant, si c'est pas déjà fait, cliquotez sur l'image et découvrez si une greluche vit en vous.